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Le CEPM, une histoire sociale et humaine

Le premier Centre Évaluatif Post-Mortem voit le jour en 1914 à la suite d’un décret officiel et confidentiel de Raymond Poincaré, en réponse au déclenchement de la Première Guerre Mondiale et au bilan meurtrier de la bataille de la Marne. 

 

La hausse du taux de mortalité due aux épidémies, aux morts infanto-juvéniles et bien évidemment aux guerres successives incluant la dernière guerre d’Algérie en 1962, pousse l’Etat à organiser la prise en charge post-mortem des français.

 

C’est donc un établissement public à vocation évaluative et sociale qui est créé afin d’accueillir et d’orienter les passagers nouvellement décédés vers la Grande Suite

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Entre 1945 et 1975, période communément appelée les Trente Glorieuses, un accroissement significatif de la natalité, dit aussi “Baby Boom”, pousse les pouvoirs publics, en la personne de George Pompidou, alors directeur de cabinet puis Premier Ministre du Général De Gaulle, à prendre le problème à bras le corps. 

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Anticipant sur les futurs décès de cette génération, autrement dit le “Papy Boom” et les engorgements potentiels dans la Grande Suite, il augmente la dotation des CEPM et les élargit jusqu’à atteindre le nombre de 14 centres répartis de façon homogène sur tout le territoire (métropole et Outre-mer).

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